Ces films qui traitent de la relation parfois difficile entre père et enfant(s)

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Ce dimanche 11 juin, c’est la fête des pères ! À cette occasion, Pickx revient pour vous sur des films qui se penchent sur la relation, parfois compliquée, entre un père et sa progéniture.

De Pickx

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'Madame Doubtfire' (1993)

Privé, à la suite de son divorce, de ses trois enfants qu'il adore, Daniel Hillard (Robin Williams), doubleur de dessins animés, met en œuvre ses talents d'acteur et d'imitateur pour se transformer en respectable gouvernante irlandaise. Lorsque cette Madame Doubtfire se présente dans la famille Hillard, elle est acceptée à l'unanimité. Daniel Hillard devient ainsi une version améliorée de lui-même et la relation qu’il tisse en tant que nounou avec ses enfants est touchante.

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‘Pour un garçon’ (2002)

Il arrive que des relations père/enfant se nouent sans qu’il y ait pour autant de lien biologique. C’est le cas dans ce film basé sur un roman de Nick Hornby. Will Freeman (Hugh Grant) est un trentenaire londonien et célibataire endurci. Vivant confortablement grâce aux droits d'auteur qu'il perçoit sur une chanson de Noël écrite par son père, il s'invente un fils pour draguer des mères célibataires. Un jour, il fait la connaissance de Marcus (Nicholas Hoult), un garçon de douze ans, tête de Turc à l’école, et fils de Fiona (Toni Collette), hippie et végétarienne. Will et Marcus deviennent amis et tandis que Will apprend à Marcus l'art d'être cool, Marcus apprend à Will l'art d'être... adulte.

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‘My Beautiful Boy’ (2018)

Pour David Sheff (Steve Carell), la vie de son fils, Nicolas (Timothée Chalamet), un jeune homme brillant, sportif, à l’esprit vif et cultivé, était déjà toute tracée : à 18 ans, Nic se lancerait dans de prestigieuses études universitaires. Mais le monde de David s’effondre lorsqu’il réalise que son fils a commencé en secret à toucher à la drogue dès ses 12 ans. De consommateur occasionnel, Nic est devenu accro à l'héroïne et plus rien ne semble possible pour le sortir de sa dépendance. Réalisant que son fils est devenu avec le temps un parfait étranger, David décide de tout faire pour le sauver, se confrontant à ses propres limites mais aussi à celles de sa famille.

S'il est une chose qui peut compliquer n'importe quelle relation, c'est bien la méthamphétamine. Cette drogue insidieusement addictive peut facilement faire des ravages, même dans les relations les plus stables. C’est ce que relatent David, le père, et Nic Sheff, le fils, dans leurs mémoires, à l’origine du film ‘My Beautiful Boy’.

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‘Boy Erased’ (2018)

L’histoire vraie du coming out de Jared Eamons (Lucas Hedges), le fils d’un pasteur baptiste (Russel Crowe). Dans la petite commune rurale de l’Arkansas (États-Unis) où vit le jeune homme, son orientation sexuelle est brutalement dévoilée à ses parents à l’âge de 19 ans. Craignant le rejet de sa famille, de ses amis et de sa communauté religieuse, Jared est poussé à entreprendre une thérapie de conversion. Il entre alors en conflit avec le thérapeute principal, découvrant et revendiquant progressivement sa véritable identité.

La relation entre un fils homosexuel et un père religieux conservateur ne peut être que difficile. Elle est parfaitement décrite dans ce film basé sur les mémoires de Garrard Conley, qui a lui-même été envoyé en thérapie de conversion.

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‘The Father’ (2020)

Avec pareil titre, ce film ne pouvait que figurer dans cette liste ! ‘The Father’, oscarisé en 2021, se penche sur la relation entre une fille et son père qui, âgé de 80 ans, commence à sombrer dans la démence. On y suit Anthony (Anthony Hopkins) qui refuse catégoriquement l’aide de sa fille (Olivia Colman) malgré sa santé mentale défaillante. Raconté du point de vue changeant du père, ‘The Father’ est un portrait fascinant de la démence et offre bien plus qu'un simple film macabre sur la maladie. Au centre, il y a un père et une fille aux prises l'un avec l'autre.

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Attention : regarder la télévision peut freiner le développement des enfants de moins de 3 ans, même lorsqu’il s’agit de programmes qui s’adressent spécifiquement à eux. Plusieurs troubles du développement ont été scientifiquement observés tels que passivité, retards de langage, agitation, troubles du sommeil, troubles de la concentration et dépendance aux écrans

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