Sandy Heribert anime la nouvelle émission Pickx+ ‘Les Grandes Vacances’ : « Cela a été pour moi de vraies rencontres »

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À partir de ce mardi 1er août, Pickx+ diffuse ‘Les Grandes Vacances’. Dans cette nouvelle émission en quatre épisodes et un best of diffusés chaque mardi en deuxième partie de soirée, Sandy Heribert reçoit des personnalités pour une journée mémorable. Au programme : interviews décalées, confidences inattendues et activités diverses. À l’occasion de cette diffusion, Pickx a rencontré la présentatrice du programme, une journaliste passionnée qui aime la Belgique.

De Pickx

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Bonjour Sandy ! On vous a récemment vue commenter sur Pickx+ la cérémonie des Oscars ainsi que vous confier à Maxime Demière en tant qu’invitée de son émission ‘Divan 52’. Vous présentez maintenant, toujours sur Pickx+, ‘Les Grandes Vacances’. Comment cela s’est-il fait ?  

Sandy Heribert : « J’ai effectivement présenté sur Pickx+ les Oscars ainsi que les cérémonies d’ouverture et de clôture du Festival de Cannes avec des experts cinéma. Alors, assez naturellement, David Horemans, le directeur de la chaîne, a eu envie de poursuivre l’aventure avec moi. Il connaissait mes aspirations en termes de projets télé. Depuis que je fais ce métier, quand on me demande, quel programme j’aimerais présenter si j’avais une baguette magique, j’ai toujours répondu ‘La Parenthèse inattendue’ ou ‘Un dimanche à la campagne’ de Frédéric Lopez. Des programmes qui ressemblent au format des ‘Grandes Vacances’. David Horemans connaissait donc mes envies et il avait ce projet. C’est donc une envie et un projet qui se sont rencontrés. Et il m’a confié l’animation des ‘Grandes Vacances’ ».

C’est donc le désir d’animer un tel programme qui vous a poussée à accepter cette proposition ?

S. H. : « Exactement ! Cela fait des années que j’ai envie de présenter un tel programme. J’avais déjà fait plus ou moins la même chose pour la chaîne Voyage, un format de découverte à la rencontre de personnes. Ça s’appelait ‘Sur les Alpes Perchées’. C’était un programme où je donnais la parole aux artisans des montagnes qui s’occupent des activités dans les stations alpines. Cette expérience a confirmé mon envie de réaliser un projet comme celui-ci ».

Dans ce programme, vous recevez des personnalités et vous passez la journée avec elles, entre interviews décalées et activités diverses. Pouvez-vous nous en dire plus ?

S. H. : « On a reçu ces invités à Tournai, à La Petite Fabriek, où on a tourné pendant cinq jours. La journée se déroulait en un mix de temps forts et de temps un peu plus calmes où ils pouvaient se poser, répondre aux interviews, évoquer leur vie ou leurs expériences. Il y a donc eu de vrais moments d’échange, des moments intimes mais rythmés aussi par des activités plus ludiques. On a fait du buggy en forêt, du dressage de faucons, de la tyrolienne sur la plus longue zip-line de Belgique,… Du fun donc, et du rire qui ont facilité cette proximité avec les invités. Nous avons tout de suite partagé des temps forts et des moments sympathiques. Ce qui a fait que tout au long de la journée, il y a eu une vraie connivence entre eux et moi. Pour finir en soirée avec un repas que nous avons préparé et partagé ensemble. Un repas au cours duquel nous avons parlé un peu plus de leur actualité et de leur avenir ».

Un chouette programme !

S. H. : « Oui ! C’était très sympa à tourner. J’ai passé des moments extras, déjà avec l’équipe de production avec laquelle j’ai travaillé. Nous étions comme une grande famille. Et ce fut un peu comme des vacances puisque nous avons passé cinq jours non-stop à dormir ensemble, nous lever ensemble, partager nos repas,… En fait, c’est ce qu’on apprécie aussi quand on est journaliste ou animateur, partager des moments d’humanité. Donc, outre la proximité que nous avons tissée avec nos invités, il y a eu déjà celle de notre équipe de tournage et ce fut dur de nous quitter à la fin. Cinq jours, c’est court mais ça peut être fort quand on passe autant de temps ensemble. Surtout quand on a tous le même projet commun, celui de produire une belle émission. Ce fut vraiment un très beau tournage ! ».

Au cours des quatre épisodes, vous avez rencontré huit personnalités, deux par journée. Sans trop en dévoiler, pouvez-vous nous dire si certaines d’entre elles vous ont plus marquée ou surprise par ce qu’elles ont dévoilé ou par ce qu’il se dégage de leur personnalité ?

S. H. : « Des surprises, non pas vraiment parce qu’avec le rédacteur en chef, on avait déjà fait un gros travail de recherche sur l’histoire et les anecdotes de chacun. On les avait eus au téléphone. On avait établi et orienté un peu les sujets que l’on voulait aborder avec eux. Donc pas de grandes surprises. En revanche, cela été pour moi de vraies rencontres. Même si j’en connaissais certains par leur filmographie ou leur biographie, je n’en avais rencontré aucun auparavant. J’ai aussi découvert des artistes, comme Nico en vrai. J’en avais déjà entendu parler mais je n’avais pas vu ses spectacles. Même chose pour James Deano. Donc, au-delà des personnalités sympas avec lesquelles j’ai passé une journée, j’ai aussi fait la découverte d’artistes que j’ai envie maintenant de suivre, d’aller voir sur les planches ou en spectacle ».

Parlons un peu plus de vous à présent. Vous êtes britannique par votre mère et franco-belge par votre père. Et vous avez été chroniqueuse sur RTL TVi dans le talk-show ‘De quoi j’me mêle’ pendant deux ans. Quels rapports entretenez-vous avec la Belgique ?

S. H. : « Un rapport de vraie tendresse, au-delà même de mes origines et du sang belge qui coule dans mes veines. J’ai eu l’habitude de venir en Belgique voir la famille de mon père qui vivait à Sart-Bernard, à côté de Namur. On traversait la frontière deux ou trois fois par an pour passer des moment ensemble. J’ai donc des souvenirs très doux et très tendres de la Belgique. Et j’ai eu la chance de pouvoir y travailler pendant deux ans dans ‘De quoi j’me mêle’. C’est extrêmement agréable de travailler avec les Belges parce qu’ils produisent un vrai travail de qualité, sans se prendre au sérieux. Ça crée tout de suite une bonne ambiance, très humaine. À chaque fois que je traverse la frontière, je sais que je vais passer un bon moment, que l’on va vraiment fournir un travail de bonne qualité dans une bonne atmosphère. J’ai donc une vraie tendresse pour la Belgique, c’est un pays que j’aime beaucoup. Et, pourquoi pas, un jour, je viendrai peut-être m’y installer parce que je m’y sens vraiment bien. Avec tous les Belges que j’ai côtoyés, que ce soit à titre personnel ou professionnel, j’ai toujours passé de très bons moments ».

Vous avez couvert de nombreux événements sportifs comme le Tournoi des VI Nations, l’Euro de football ou encore les Jeux Olympiques. Et vous avez même présenté la cérémonie du Ballon d’Or. Le sport semble donc vous intéresser. D’où vient cet intérêt ?

S. H. : « J’ai toujours été très sportive. Quand j’étais enfant, mon père m’a fait faire beaucoup de sport. J’ai été élevée un peu à la dure, à la garçon manqué. Quand je tombais, je n’avais pas le droit de dire que j’avais mal. Mais ça m’allait très bien parce que ça collait à ma personnalité. J’ai toujours adoré me dépasser, transpirer, ressentir l’effort. J’ai essayé plein de sports différents et j’en fais toujours beaucoup. Professionnellement, j’ai eu la chance de rentrer assez rapidement dans une rédaction sportive. Mes premières armes, je les ai faites chez Eurosport en 2008. Ça a été une super opportunité pour moi d’allier passion et métier. Et c’est assez naturellement que j’ai réalisé plein de choses dans le sport. Aujourd’hui, je fais un peu plus de divertissement, de spectacle et d’animation. Ça me plaît vraiment beaucoup mais je reviens toujours au sport qui reste essentiel pour moi. Il véhicule de belles valeurs d’équipe, d’accomplissement, de résilience. J’ai une profonde admiration pour les sportifs. Et j’ai la chance de graviter dans ce monde-là en animant des événements prestigieux comme les Jeux Olympiques ou le Ballon d’Or. En septembre et octobre prochains, il y aura la Coupe du monde de rugby et je commenterai la cérémonie d’ouverture. Je vais aussi animer les dix matchs au Stade de France. C’est super de pouvoir être aussi proche du terrain ». 

Vous collaborez avec de nombreuses chaînes, principalement françaises. Quels sont vos projets à venir à part la Coupe du monde de rugby ?

S. H. : « J’ai un nouveau projet, une émission consacrée aux sports automobiles qui sera diffusée sur une chaîne spécialisée à partir de la rentrée 2024 mais qu’on va filmer déjà à partir de septembre. J’en suis très contente ! J’ai d’autres projets mais encore confidentiels, donc je ne peux rien en dire pour le moment (rires). Et puis, évidemment, il y aura, le 30 octobre, la cérémonie du Ballon d’Or diffusée en direct sur la chaîne L’Équipe à partir de 21h, devant 300 millions de téléspectateurs. Ça aussi, c’est un beau projet ! ».

Que peut-on vous souhaiter pour la suite ?

S. H. : « Animer une saison 2 des ‘Grandes Vacances’ (rires), parce que j’ai vraiment apprécié le projet. Et retrouver l’équipe de prod que j’ai vraiment adorée, vivre encore plus de rencontres, de bons moments. Avoir aussi d’autres projets avec la Belgique. Continuer à parler projets avec Pickx+, peut-être côté cinéma avec les Oscars et le Festival de Cannes parce que je pense que la chaîne a encore obtenu les droits pour une année supplémentaire. J’en suis ravie ! ».

À partir du 1er août et jusqu'au 29 août, Sandy Heribert et ses invités vous donnent rendez-vous chaque mardi dans 'Les Grandes Vacances' sur Pickx+. Découvrez l’offre complète de Pickx Mix via l’option TV « All Stars » de Proximus Pickx ! Rendez-vous sur notre site pour avoir plus d'infos sur cette option TV.


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